| Juif, 
    pacifiste et mondialiste, Einstein subit(sufre) rapidement les foudres(iras) des 
    extrémistes national-socialistes. Il revient d’un voyage aux Etats-Unis 
    lorsque Hitler prend le pouvoir en 1933. Il ne rentre pas à Berlin et 
    rejoint(se reúne) les savants de l’Institute for Advanced Study de Princeton. Il 
    prendra la nationalité américaine en 1940. Son exil ne l’empêche(impide) pas de 
    poursuivre(proseguir) ses activités politiques. Il sauve(salva) de nombreux chercheurs 
    européens et convainc le président Roosevelt de développer le programme de 
    la bombe nucléaire avant que l’Allemagne n’y parvienne(logre). Il 
    regrettera amèrement(lamentará amargamente)  son geste et soutiendra(sostendrá, 
    defenderá) , de 1945 à sa mort, en 1955, l’action du 
    Comité d’urgence des savants(sabios, eruditos)  atomistes qui vise à limiter les ingérences de 
    l’Etat dans la recherche scientifique. 
 
 Si Einstein 
    est respecté et écouté, il n’en est pas moins, à la fin de sa vie, en bute(tropieza) 
    avec la jeune génération de physiciens comme 
    
    Heisenberg, Pauli et 
    surtout 
    Bohr. En effet, 
    Einstein a posé les fondations d’une nouvelle théorie, la théorie quantique, 
    qu’il n’accepte pas. Cette théorie interdit(prohíbe) toute représentation réelle des 
    objets physiques élémentaires comme les électrons, les protons, etc. Ils ne 
    peuvent être décrits qu’en termes de probabilité : probabilité qu’ils 
    suivent une certaine trajectoire, qu’ils aient une certaine position, une 
    certaine vitesse. Or(ahora bien)  
    Einstein n’adhère(no se adhiere) pas à cette vision probabiliste de la réalité. Pour lui,
    " Dieu ne joue pas aux dés(Dios no juega a los 
    dados) ".
    Il refuse que le résultat d’une expérience ne puisse être unique et prédit(predice) 
    avec certitude(certeza). Pour lui, la mécanique quantique est sinon inexacte, du 
    moins incomplète. Einstein se révèle en cela le dernier des physiciens classiques.
 
 La force d’attraction de Newton est remplacée par une déformation de 
	l’espace autour(alrededor) des corps. Comme une balle 
	déforme une toile(tela, lona, lienzo) tendue(extendido) 
	en y formant un creux(hueco), un corps modifie l’espace 
	autour de lui.
    Cela explique pourquoi tous les corps, quelle que soit(sea 
	cual sea) leur masse, tombent avec la même accélération ; ils 
	suivent en fait la ligne de plus grande pente(pendiente) 
	du creux formé dans l’espace. De plus, Einstein énonce le fait que l’espace 
	et le temps ne peuvent exister sans matière. Comment vérifier simplement 
	cette théorie ? Si un corps déforme l’espace autour de lui, alors les rayons(rayos) 
	d’une étoile située derrière le soleil seront déviés(desviados) 
	et son image ne sera pas là où elle devrait être. Les observations 
	effectuées lors d’une éclipse par sir Arthur Eddington, astronome 
	britannique, confirment pleinement les calculs d’Einstein. La théorie de la 
	relativité générale est avérée. Les médias s’emparent(poner el ojo 
	en algo) alors de l’histoire et offrent à Einstein la 
	reconnaissance et la gloire. La science devient aux yeux du monde un symbole 
	de paix et de réconciliation : un Anglais a confirmé la théorie d’un 
	Allemand ! Une illusion qui sera bientôt balayée(barrida) 
	par les événements(acontecimientos).
 Mais la nouvelle popularité d’Einstein lui permet de reprendre ses activités 
	politiques et l’aide à promouvoir(promover) son idéal de 
	paix. Il défend la cause du peuple juif et milite en faveur de la 
	construction d’une université de haut niveau en Palestine. Une tournée aux 
	Etats-Unis en 1921 lui offre les fonds(fondos) 
    nécessaires.
 
 
 Juif, pacifiste et mondialiste, Einstein subit(sufre) 
	rapidement les foudres(iras) des extrémistes 
	national-socialistes. Il revient d’un voyage aux Etats-Unis lorsque Hitler 
	prend le pouvoir en 1933. Il ne rentre pas à Berlin et rejoint(se 
	reúne) les savants de l’Institute for Advanced Study de Princeton. 
	Il prendra la nationalité américaine en 1940. Son exil ne l’empêche(impide) 
	pas de poursuivre(proseguir) ses activités politiques. Il 
	sauve(salva) de nombreux chercheurs européens et convainc 
	le président Roosevelt de développer le programme de la bombe nucléaire 
	avant que l’Allemagne n’y parvienne(logre). Il 
    regrettera amèrement(lamentará amargamente)  
	son geste et soutiendra(sostendrá, defenderá) , de 1945 à 
	sa mort, en 1955, l’action du Comité d’urgence des savants(sabios, 
	eruditos)  atomistes qui vise à limiter les ingérences de l’Etat 
	dans la recherche scientifique.
 
 
 Si Einstein est respecté et écouté, il n’en est pas moins, à la fin de sa 
	vie, en bute(tropieza) 
    avec la jeune génération de physiciens comme 
    
    Heisenberg, Pauli et surtout 
    Bohr. En effet, Einstein a posé les fondations d’une nouvelle 
	théorie, la théorie quantique, qu’il n’accepte pas. Cette théorie interdit(prohíbe) 
	toute représentation réelle des objets physiques élémentaires comme les 
	électrons, les protons, etc. Ils ne peuvent être décrits qu’en termes de 
	probabilité : probabilité qu’ils suivent une certaine trajectoire, qu’ils 
	aient une certaine position, une certaine vitesse. Or(ahora 
	bien)  Einstein n’adhère(no se adhiere) pas 
	à cette vision probabiliste de la réalité. Pour lui,
    " Dieu ne joue pas aux dés(Dios no juega a los dados) ".
    Il refuse que le résultat d’une expérience ne puisse être unique et prédit(predice) 
    avec certitude(certeza). Pour lui, la mécanique quantique 
	est sinon inexacte, du moins incomplète. Einstein se révèle en cela 
	le dernier des physiciens classiques.
 
 
 Fuente: 
	http://www.infoscience.fr/histoire/portrait/einstein.html
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